« La Côte d’Azur, rivage refuge – Malraux, de fin 1940 à fin 1942 » par Joël Haxaire
Parution du hors-série n° 9 de la revue Présence d’André Malraux

Couverture du hors-série n°9Cet ouvrage de Joël Haxaire (format 130 x 180 mm – 65 pages) nous « plonge », au bord de la Méditerranée aux décors superbes, dans cette période moins connue de Malraux, tout juste évadé, qui retrouve là Josette et leur fils « Bimbo ». Anecdotes marquantes (dont « l’affaire » de la conférence d’André Gide), fructueux contacts américains, visiteurs, invités, déplacements etc peuplent ce récit … dont les éclairages sur leur relation de couple, son état d’esprit et sa création littéraire d’alors, disent, avec en arrière-plan la guerre, – ses vicissitudes et questionnements – les ombres, les lumières et leurs traces laissées… Heureuse lecture ! 

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Texte illustré de la 4ème de couverture :

« Roquebrune, le bruit des petits sabots de mon fils dans le jardin aux arbres de Judée en fleur (et je pensais que j’entendrais ainsi les battements de mon cœur quand je mourrais) ». Trente ans après, en 1972, gravement malade et hospitalisé à « La Salpêtrière » », Malraux, assailli par des images de son passé, se souvient (in « Lazare ») de ces moments là. Évadé et réfugié sur la Côte d’Azur entre fin 1940 et fin 1942, il avait retrouvé sa compagne Josette avec leur enfant « Bimbo » sous les toits accueillants de « La Souco » à Roquebrune-Cap-Martin et de la villa « Les Camélias » à Cap-d’Ail. Deux années, la guerre en toile de fond,  de vie agitée et de « surplace » dans un « cadre » unique dont le soleil souligne les grandes ombres,  avec ses rencontres fertiles, ses angoisses comme ses appels au bonheur,  ses écrits nombreux, empreints de ses questionnements permanents comme de ses tourments d’alors, deux années qui laisseront traces, parenthèse enracinée.