Journée du Drassm : samedi 22 mars 2014 au Musée d'Histoire de Marseille

Contact : Florence RICHEZ, responsable de la documentation DRASSM
147 plage de l’Estaque, 13016 MARSEILLE
tél. 04.91.14.28.05
fax 04.91.14.28.14
http://www.culturecommunication.gouv.fr/Disciplines-et-secteurs/Archeologie/Archeologie-sous-les-eaux
http://www.bibliotheque-bernard-liou-drassm-culture.fr/Main.htm

Le Département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM) est un service à compétence nationale établi à Marseille.

Les missions : inventaire, expertise, recherche et étude

Dans le cadre de l’application du code du Patrimoine, le DRASSM est chargé de mettre en œuvre, en métropole comme en outre-mer, la législation relative aux bien culturels maritimes (BCM) en liaison avec les administrations participant à l’action de l’État en mer (Préfectures maritimes, Direction des affaires maritimes, Douanes…). À ce titre, il inventorie, étudie, protège, conserve et met en valeur le patrimoine archéologique immergé de l’ensemble des eaux marines sous juridiction française.

Il assure une mission de conseil et de contrôle scientifique et technique sur les chantiers archéologiques sous-marins.
Il contribue à la formation des archéologues plongeurs à la conduite de fouilles archéologiques : accueil sur les chantiers, ressources du pôle documentaire, co-suivi de masters…
Il gère les collections d’objets archéologiques issus du domaine public maritime et organise leur mise en dépôt auprès des musées.

Le domaine d’intervention du DRASSM est particulièrement vaste puisqu’il recouvre plus de 10 000 km de côtes, dont 5 533 pour la métropole et qu’il s’étend de plein droit depuis la ligne du rivage dite ligne de base, jusqu’à 24 milles des côtes, soit un peu plus de 44 km au large. L’application en droit interne des principes juridiques établis par la Convention UNESCO de 2001 sur la protection du patrimoine culturel subaquatique – convention ratifiée le 7 février 2013 par la France – va en outre étendre le champ de compétence du DRASSM à l’intégralité de la zone économique exclusive française, soit plus de 11 millions de km² d’espace maritime,